Intégrer un collaborateur n’est pas une mince affaire.
Même si votre recrue semble en tout point disposer des compétences et qualités requises, il y a toujours un risque : celui de s’être trompé, celui de rater l’intégration parce qu’on ne s’y est pas suffisamment préparé, celui de ne pas donner suffisamment envie à votre recrue de rester…
Alors comment le manager doit-il s’y prendre pour intégrer un collaborateur ? Que doit-il mettre en place ?
Certains manager, plutôt paternalistes ou directifs, vont opter pour une intégration cadrée à l’extrême où le nouveau collaborateur, placé sur des rails, aura peu de marges de manœuvre. Cette pratique peut se révéler anxiogène, limiter sa capacité de prise d’initiative et impacter négativement son engagement futur.
D’autres, à l’opposé, choisissent plutôt de laisser le collaborateur montrer qu’il est autonome.
D’ailleurs, ne l’ont-ils pas précisé dès l’annonce ? Et une fois qu’ils lui ont dit « Voilà ton bureau, ton téléphone, ton ordinateur. Si tu as besoin de quelque chose, ma porte est ouverte », ils s’éloignent en attendant de voir…
Entre ces deux extrêmes, il existe bien sûr une voie intermédiaire qui rassure sans limiter l’espace, qui donne le La tout en mettant à l’aise.
Nous vous proposons de découvrir quelle est cette voie, en parcourant notre Guide Pratique : les 7 Clés d’une intégration réussie.
Découvrez cet épisode de notre Web Série sur le thème de l’intégration !
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